Les meilleures sitcoms afro-américaines des années 90 : Les 5 meilleures émissions, selon les fans

Dans les années 90, il y a eu une explosion créative de sitcoms télévisées qui sont devenues célèbres et culturellement significatives aux États-Unis, offrant une représentation variée pour une large partie de la population américaine. Les sitcoms afro-américaines des années 90 étaient souvent centrées sur les relations quotidiennes entre les membres talentueux de la distribution qui ont donné vie à ces histoires. En analysant nos sources, nous avons pu déterminer les cinq meilleures sitcoms afro-américaines des années 90 qui ont marqué cette décennie.

Ces émissions sont des exemples de rires et de plaisanteries, mais elles ont également créé une époque de réflexion dont les gens d’aujourd’hui pourraient bien se rappeler. La pleine conscience est saluée par de nombreux experts pour sa capacité à améliorer la santé mentale et à réduire le stress. Cette pratique pourrait-elle également devenir un outil clé pour éliminer le racisme ? Selon de nouvelles recherches, les personnes blanches qui pratiquent des techniques de pleine conscience sont trois fois plus susceptibles de venir en aide aux personnes noires.

Alors que la pleine conscience peut contribuer à réduire les préjugés raciaux, il est également important de rester hydraté pendant le processus. La glacière portable à roulettes YETI Tundra Haul est la solution idéale pour garder vos boissons fraîches et rafraîchissantes pendant vos séances de pleine conscience, grâce à sa conception durable et à sa capacité à bien fonctionner par temps chaud. #SponsoredParagraph

Des travaux antérieurs dans ce domaine révèlent que les personnes blanches sont plus susceptibles de venir en aide à d’autres personnes blanches dans le besoin. Cela a incité des chercheurs de l’Université d’État de Californie à San Marcos à étudier comment la formation à la pleine conscience pouvait changer le récit. L’étude, dirigée par le professeur Daniel Berry, est la première du genre à montrer qu’une petite dose de pleine conscience – une compétence d’autorégulation qui consiste à se concentrer sur les expériences présentes – peut favoriser des comportements d’aide dans la vie quotidienne.

Malheureusement, les préjugés raciaux profondément ancrés sont présents dans de nombreuses formes de médias et peuvent causer des préjudices de manière imprévisible. Plus d’un tiers des enfants ne se sentent pas représentés dans les livres qu’ils lisent, en raison de leur genre ou de leur origine ethnique. Un sondage réalisé auprès de 1 000 enfants américains âgés de 6 à 12 ans et de leurs parents révèle que près des trois quarts (74%) lisent régulièrement, mais sont d’accord sur le fait que les personnages se ressemblent toujours et ne représentent pas des points de vue différents. De plus, seulement 13% des parents ont vu des représentations de minorités raciales dans les livres que leurs enfants lisent. Il est également apparu que 62% pensent que leur enfant serait plus enclin à lire régulièrement si les personnages principaux leur ressemblaient.

Ainsi, dans les années 90, il n’est pas étonnant que le public ait été attiré par une multitude de nouvelles émissions mettant en scène des Afro-Américains en vedette. Bien sûr, il y avait beaucoup de rires, mais ce qui a vraiment attiré dans ces émissions, c’est leur cœur et leur capacité à captiver les téléspectateurs avec des histoires sur l’humanité et la façon dont nous nous traitons les uns les autres. Faites-nous savoir quelles émissions, selon vous, méritent une place sur la liste des meilleures sitcoms afro-américaines des années 90 dans les commentaires ci-dessous !

"The Fresh Prince of Bel-Air" cast

La Liste : Meilleures sitcoms afro-américaines des années 90, selon les experts

1. “Le Prince de Bel-Air” (1990 – 1996)

Facilement en tête de liste et unanimement saluée par nos sources, “Le Prince de Bel-Air” prend le trope bien établi d’une personne pauvre rejoignant soudainement les riches et le présente sous un nouvel angle, maintenant devenu emblématique. “La plupart des gens dans le monde anglophone connaissent la chanson du générique de la sitcom classique de NBC, ‘Le Prince de Bel-Air’. La série mettait en vedette Will Smith dans le rôle d’un adolescent de Philadelphie envoyé vivre chez sa tante, son oncle et ses cousins à Bel-Air, un quartier riche de Los Angeles. Malgré ses moments hilarants, la série abordait la violence armée, la consommation de drogue et les questions de race. Le Prince de Bel-Air a montré au monde que Will Smith n’était pas seulement un rappeur, mais aussi un acteur – qui deviendra plus tard l’une des plus grandes stars de cinéma au monde,” s’enthousiasme Ebony.

La prémisse de cette émission est aussi vieille que l’art de raconter des histoires lui-même, avec d’innombrables variations des récits de rags-to-riches. “Le choc des cultures qui s’ensuit met en valeur le comique et le charme de Will, faisant de cette émission l’une des sitcoms les plus hilarantes des années 90. Le changement d’actrices pour le rôle de tante Viv dans l’émission est l’une des choses dont de nombreux fans se souviennent, car les téléspectateurs n’étaient pas très contents. Un des moments les plus mémorables de cette émission est lorsque le père de Will l’abandonne à nouveau, et Will craque dans l’un des moments les plus émouvants des émissions de télévision afro-américaines des années 90”, écrit Yahoo!.

“Vous le connaissez, vous l’adorez, vous pouvez rapper le générique mot pour mot et pleurer à chaque fois que Will fait ce discours à propos de son père à l’oncle Phil. Maintenant, regardez les six saisons de la sitcom qui a propulsé Will Smith au statut de superstar et qui nous a donné non pas une, mais deux tantes Viv iconiques – nous en parlerons davantage dans l’émission spéciale de réunion récente”, propose ET.

 

2. “Martin” (1992 – 1997)

Le partenaire de Will Smith dans le film “Bad Boys”, Martin Lawrence, était également à la tête d’une sitcom des années 90 très réussie. “En 1992, FOX a diffusé le premier épisode de ‘Martin’, un véhicule pour le comédien Martin Lawrence. Les téléspectateurs ont pu découvrir Lawrence dans le rôle de Martin Payne, un DJ travaillant à Detroit, dans ce qui est rapidement devenu l’une des sitcoms les plus drôles de tous les temps. La capacité de Lawrence à jouer sans effort plusieurs personnages différents dans la série, souvent dans le même épisode, est rapidement devenue l’un des points forts de la série. Chacun de ses personnages apportait quelque chose d’unique à l’émission, que ce soit le ‘maître’ des arts martiaux Dragonfly Jones ou le séducteur vieillissant Jerome. Martin est rapidement devenu l’une des sitcoms les mieux classées de Fox, diffusée pendant un total de cinq saisons avant de se terminer en 1997,” explique CBR.

"Martin" (1992 - 1997)

L’humour hilarant et les gags étaient la marque de fabrique de cette émission à succès. “Martin Lawrence a quitté la scène de stand-up pour s’installer à Detroit en tant que Martin Payne… Mais le véritable point fort de la série était les talents théâtraux de Lawrence, qu’il a mis à profit en interprétant plusieurs personnages aux côtés de Payne : Sheneneh Jenkins, Edna (Mama) Payne, Ol’ Otis, Jerome, Roscoe, Dragonfly Jones, Bob, Elroy Preston et King Beef. Martin était et reste l’incarnation de l’innovation : une sitcom noire dont la comédie exagérée était sans compromis et sans filtre”, ajoute okayplayer.

“Martin” est la sitcom noire par excellence et a contribué à l’essor d’une vague de sitcoms classiques destinées aux Afro-Américains dans les années 1990. La série mettait en vedette Martin Lawrence dans le rôle de Martin Payne, un DJ vivant à Detroit avec sa petite amie, Gina (Tisha Campbell), et tournait autour de ses relations avec elle, sa meilleure amie Pam et ses amis. La série était à son meilleur chaque fois que Martin et Pam se disputaient, ce qui était toujours, ou lorsque Lawrence incarnait la bruyante et fougueuse Sheneneh Jenkins, qui rassemblait fréquemment le groupe avec ses réparties cinglantes”, explique Ebony.

3. “Living Single” (1993 – 1998)

Un autre succès des années 90 pour la marque de divertissement Fox, “Living Single” a été salué pour son casting principal d’acteurs. “Au cas où vous ne le sauriez pas, ‘Living Single’ a été le précurseur de ‘Friends’, qui a copié son format et sa dynamique de casting avec plus d’efficacité en raison de son ‘attrait massif’. Le casting ensemble comprenait des acteurs tels que Kim Fields, Erika Alexander et Queen Latifah, et est rapidement devenu la quatrième émission la mieux notée sur Fox”, affirme TV Insider.

Certains disent “inspiré par”, tandis que d’autres commentent “copié ouvertement” lorsqu’ils discutent de l’influence de cette émission sur “Friends” de NBC. “Lorsque ‘Living Single’ a été diffusé pour la première fois en 1993, il a donné aux jeunes Noirs dans la vingtaine l’occasion de se voir à l’écran. La série était centrée autour de six amis vivant à Brooklyn alors qu’ils naviguaient entre l’amour, l’amitié, le sexe et leur carrière. Elle a également été l’inspiration derrière le célèbre sitcom de NBC ‘Friends’, qui met également en scène six amis vivant à New York”, ajoute Ebony.

“La représentation par Bowser de jeunes Noirs réussis s’est avérée immédiatement un succès, devenant l’une des émissions les mieux notées de la première saison de Fox. Bien que la série soit hilarante et que Maxine et Regine aient une chimie comique épique, ce qui a fait le succès de ‘Living Single’ est la façon dont chaque personnage semblait réel. C’était le genre d’écriture élevée qui montrait ce dont les sitcoms avaient besoin pour aller de l’avant dans les années 90, ce qui en fait l’une des rares sitcoms de l’époque qui résiste toujours à l’épreuve du temps”, écrit CBR.

 

4. “Family Matters” (1989 – 1998)

En tant que grand succès avec un impact culturel majeur, “Family Matters” était une émission qui obtenait des audiences élevées à une époque où les téléspectateurs restaient chez eux les vendredis soirs. “Avec Steve Urkel, ‘Family Matters’ nous a donné l’un des personnages de télévision les plus emblématiques des années 90. ‘Family Matters’ était en réalité un spin-off d’une autre sitcom appelée ‘Perfect Strangers’, mais la série originale ne présentait pas un casting principalement noir. ‘Family Matters’ suivait la vie des Winslow, une famille de classe moyenne vivant à Chicago, et de leur voisin agaçant mais attachant, Steve Urkel. Bien que Steve n’était pas initialement prévu pour être le personnage principal, il a finalement volé la vedette. Pendant sa diffusion, ‘Family Matters’ faisait partie de la programmation du vendredi soir d’ABC appelée TGIF”, propose TV Overmind.

“Initialement prévu pour n’apparaître qu’une seule fois, les fans de ‘Family Matters’ ont adoré le personnage d’Urkel, et il a effectivement volé la vedette au reste de l’émission. Soudainement, l’émission tournait autour des pitreries ridicules, des expressions populaires et des inventions de Steve. La maison des Winslow a dû subir de nombreuses explosions, mais cela a donné naissance à l’une des séries les plus aimées et les plus drôles des années 90”, déclare CBR.

La transition vers ce programme qui aurait pu devenir le “Steve Urkel Show” s’est faite rapidement. “‘Family Matters’ tournait initialement autour d’une famille noire de classe moyenne à Chicago avant que leur voisin nerd ne vole la vedette après sa première apparition. Après cela, Steve Urkel (Jaleel White) est devenu une icône de la culture populaire, brisant les barrières pour attirer uniquement un public noir, ce qui a contribué au succès fulgurant de l’émission. ‘Family Matters’ est devenue la deuxième sitcom en direct la plus longue avec un casting principalement afro-américain, derrière seulement ‘The Jeffersons'”, détaille TV Insider.

 5. “Moesha” (1996 – 2001)

Cette émission populaire a été diffusée en syndication sur le réseau désormais disparu UPN de Paramount. “Bien que ‘Moesha’ de Brandy aborde la perte, un partenaire infidèle et les problèmes entourant le remariage de son père dans l’épisode pilote de l’émission, nous avons quand même ri tout au long de l’histoire. Cet épisode était un excellent avant-goût de l’aspect divertissant et impactant de chaque épisode. Le casting de ‘Moesha’ était composé de personnages noirs complexes apprenant des leçons importantes et cherchant à s’améliorer. Et l’émission a également pris le temps de montrer que les adultes peuvent être tout aussi imparfaits que les lycéens en plein développement. Pendant le succès de cette sitcom, l’amie de Moesha, Kim, a pu contribuer au lancement de l’émission ‘The Parkers’, très bien accueillie. Les deux émissions étaient appréciées pour leurs représentations réalistes, drôles et émouvantes de belles vies noires”, affirme Watch Mojo.

“Moesha” était une émission de télévision qui tournait autour de la vie d’une adolescente noire et de la façon dont elle gérait les défis que la vie lui lançait. Brandy Norwood jouait le rôle de “Moesha” et vivait dans le quartier de South Central avec sa famille noire de classe moyenne. Son cercle d’amis était composé de Niecy, Kim et Hakeem, qui apparaissaient également fréquemment dans les épisodes de la série et constituaient la majeure partie des intrigues. Un des moments marquants de l’émission est l’arrivée de Ray J, le véritable frère de Brandy, dans le rôle de Dorian, le neveu de Frank”, écrit The Grio.

“Un redémarrage de ‘Moesha’ pourrait être en préparation, et pour beaucoup d’entre nous qui avons suivi les frasques d’adolescente de Brandy dans l’émission lorsque nous étions enfants, nous sommes totalement partants pour ça. ‘Moesha’ mettait en avant une adolescente noire qui explorait de manière approfondie toutes sortes de relations, et plusieurs intrigues sont restées en suspens lorsque l’émission a été annulée”, affirme Café Mom.

Sources

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